Carnets de voyage à Pékin - Juin 2014
Découverte de la ville
mardi 24 juin 2014, par
Préambule
Laurent Nadiras et moi avons été conviés à participer au colloque Franco-Chinois à Pékin intitulé « Regards croisés sur la formation professionnelle en hôtellerie-tourisme ».
Nous avions pour mission de présenter les ateliers expérimentaux, les outils et usages du numérique dans notre filière et de filmer les ateliers.
Au-delà de cette mission, j’ai décidé de vous présenter au fil du temps les impressions et ressentis de ces échanges, et plus largement du choc humain et culturel que représente une immersion à Pékin.
Arrivée à Pékin
Je n’ai pas la prétention de vous décrire la Chine mais juste la ville de Pékin, soit un confetti à l’échelle du pays.
Mais quand même, une évidence m’a interpellé lors de l’approche en avion.
Tout d’abord la Muraille de Chine, visible depuis l’avion, s’étirant en zigzags tourmentés à perte de vue, qui donne une idée plus concrète de l’immensité du pays et de sa taille quasiment impossible à appréhender.
Ensuite, dans l’avion, les premiers bâtiments de Pékin : on arrive ! Les indicateurs de vols mentionnent une vitesse de 350 kilomètres par heure. On devrait atterrir très vite...
Vingt minutes plus tard, nous nous posons sur l’aéroport. Nous avons donc survolé la ville sur plus de cent kilomètres...
Nous quittons l’avion et sa climatisation calée sur 21°C et nous heurtons à la deuxième muraille : 44°C, une humidité élevée. Il fait très beau à Pékin !
Dire que nous sommes dans l’un des quatre aéroports de la ville. La démesure annoncée est bien palpable.
Pékin - Beijing
Pékin (en chinois : 北京 ; pinyin : běijīng) est la capitale politique de la République Populaire de Chine. Cette cité compte environ vingt millions d’habitants et est en expansion constante. (Voir Pékin sur Wikipédia, l’encyclopédie libre).
Dès nos premiers pas, ce qui interpelle, c’est l’accueil de nos amis Chinois : nous avons rencontré des femmes et des hommes disponibles, très attentifs, prévenants. Leur rythme et leur attitude sont paisibles et ils n’hésitent pas à tenter d’échanger. Seule la barrière linguistique est un frein à ces échanges, mais beaucoup de jeunes pratiquent un anglais très satisfaisant.
Autre surprise, le métro de Pékin : très confortable, climatisé, avec un tarif unique de deux Yuans (soit environ 24 centimes d’Euro) pour un trajet unique, mais dont la distance peut atteindre plusieurs dizaines de kilomètres ! Et la signalétique d’une clarté et d’une simplicité telles qu’il est impossible de ne pas trouver son chemin.
Toutes les indications sont traduites, ce qui est un atout évident !
À bientôt pour la suite des aventures à Pékin.
S. Raynaud
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